Cover revisite un thème de Zelda : Twilight Princess - chronique Cover

Salut à tous, c'est Charles d'After Bit.

Eh oui, dernier épisode de Cover, et j'avoue, j'ai un peu fait mon fanboy en retournant dans Zelda.
En fait, cette cover n'était pas prévue, on devait s'arrêter à FEZ, mais bon l'envie a été plus forte.

Étonnamment, même si je le trouve très bon, Twilight Princess est certainement le Zelda que j'aime le moins. Je ne suis pas ultra fan des donjons, je trouve le monde un peu vide, et il ressemble trop à Ocarina of Time à mon goût. Heureusement, il y a Midona, dont le thème m'a tellement marqué que je l'ai glissé au début de cette musique de la forêt.

Pour mettre les choses au clair, il n'y a pas de préférence Nintendo dans nos chroniques, c'est franchement plutôt le hasard. Oui, les musiques des jeux Nintendo sont d'excellente qualité, mais on est joueurs de PS4, XBOX, Wii U et PC, et on s'en tape totalement de la guerre des consoles. L'important, c'est que le jeu soit bon, pas que ce soit "machin" qui le fait.

J'ai essayé ici de faire quelque chose d'hypnotisant, répétitif mais apaisant. Les guitares sont donc associées à un synthé très doux,e t les percus amènent au tout une sorte d'énergie molle.

Encore une fois, nous ne nous sommes pas filmés. La raison est assez simple : en avançant dans Cover, notre but était de rendre de plus en plus la musique au jeu, pour profiter un peu mieux du pouvoir d'abstraction de la musique. Quand on regarde un musicien, on s'attache à sa performance, mais quand on regarde le jeu, on se fixe plus simplement sur les émotions, et c'est ce qu'on recherchait.

En tout cas, Valentin et moi, nous vous remercions énormément de nous avoir suivis dans l'aventure Cover. On s'est bien éclatés, j'espère que vous avez apprécié. Pour ceux qui ne connaitraient pas les changements à venir, allez faire un tour sur notre page youtube, vous aurez toutes les infos à la fin de notre vidéo de bétisier.

Merci, vous avez été vraiment cools avec nous !

Sublime, un contenu qui va vraiment manquer au site.